* Le 7 décembre 2018, mon cher Florent Dessus, tu nous faisait un ultime pied de nez en forme de pirouette à la vie.
Deux années plus tard ta présence est désormais virtuelle, mais toujours très forte, magnifiée par tous les bons moments que tes ami(e)s ont passé avec toi.
A présent, tu es dans un confinement contraint et, à n’en pas douter, tous ceux qui t’entourent là-haut doivent vivre d’excellents moments de convivialité.
Florent, tu nous manques…
MG un de tes vieux complices