Café des Fédérations : le meilleur (et de loin…) véritable bouchon de Lyon

On le sait Lyon, capitale mondiale de la gastronomie, est la ville des bouchons.

bouchon Mais des bouchons entre Rhône et Saône, il y en a peu. Soyons généreux, une douzaine seulement…

Un bouchon c’est avant une histoire, une ambiance, une atmosphère et bien entendu une cuisine roborative, gourmande, mais néanmoins délicate avec son lot de lyonnaiseries militantes, pour ne citer que les andouillettes, les tabliers de sapeur, les gratins de nouilles, la cervelle de canut ou encore les tartes à la praline.

Et dans cette douzaine de véritables bouchons de Lyon, dont la seule labellisation est l’authenticité et la gouaille du patron il y en a un qui se détache du lot, c »est le Café des Fédérations, rue du Major-Martin.

Aux commandes Jean-Luc Plasse et Bruno qui tient cette belle et ancienne maison de main de maître.

Alors, nous nous sommes laisser tentés par une andouillette Braillon à la fraise de veau accompagné d’un très gourmand gratin de macarons. Crémeux et gourmand à souhait.

Quant à l’andouillette, cuite à la perfection, elle fût d’un incommensurable bonheur gourmand.

Puis pour terminer dans la légèreté (quoi que !), des œufs à la neige ont eu raison de notre insatiable gourmandise.

Et puis puisque les vendanges en Beaujolais débutent ce 1 septembre, allons y our un pet de gouleyant Morgon… sous les yeux avisés de Guignol et Gnafron ! Les deux intrépides gaillards lyonnais.

Michel Godet