C’est bien volontiers que nous relayons cette information concernant la recherche de contributeurs et/ ou contributrice pour commettre des articles devant  être publiés sur le prochain numéro de la revue électronique « Territoires du Vin » (http://revuesshs.u-bourgogne.fr/territoiresduvin/) portée par la Chaire UNESCO « Culture et Traditions du Vin » de l’Université de Bourgogne et la Maison des Sciences de l’Homme de Dijon portera sur la thématique « Vigne et vin en Italie ».


Merci de bien vouloir trouver ci-joint l’appel à contribution de ce numéro spécial Italie en Français et en Italien).

N’hésitez pas à nous faire parvenir, avant le 15octobre prochain votre proposition d’article, sous forme d’un résumé de 500 mots maximum qui sera visé par notre Comité Scientifique

Pour les auteurs retenus, les normes de présentation des textes seront à consulter sur notre site rubrique « Notes aux auteurs »

Pour le Comité de Rédaction, Olivier Jacquet

Chaire UNESCO « Culture et Traditions du Vin »

Université de Bourgogne

Institut « Jules Guyot »

Rue Claude Ladrey – BP 27 877

21 078 DIJON CEDEX

Tél : 03 80 39 63 89

mailto:chaire.vin-culture@u-bourgogne.fr

web : http://www2.u-bourgogne.fr/chaireunesco-vinetculture


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Revue « Territoires du Vin »
http://revuesshs.u-bourgogne.fr/territoiresduvin/
DOSSIER « Italie »
La revue : présentation des axes généraux souhaités
Portée par la Chaire UNESCO « Culture et Traditions du Vin » et la Maison des Sciences de l’Homme de Dijon, la revue électronique «Territoires du Vin » se propose de présenter des recherches, dans le domaine des sciences de l’homme, sur la vigne et le vin en étant pour elles un  point d’appui international.
A vocation pluridisciplinaire, elle est conçue pour publier les études sur la vigne et le vin impliquant la diversité des savoirs scientifiques dans le champ des sciences sociales avec le souci de promouvoir collaborations et synergies entre les différentes disciplines et spécialités et d’accueillir l’expérience et la réflexion du monde professionnel
Le titre de la revue signale un souci primordial d’étudier l’ancrage de toutes les activités sociales liées au vin. La référence aux territoires est une manière d’inscrire le vin dans l’espace géographique aussi bien que dans l’histoire sociale et culturelle. L’attention à la
dimension territoriale ne signifie pas seulement la spatialisation du regard porté sur une activité qui participe du paysage végétal comme des modes de vie urbains, mais aussi l’intérêt pour la régulation de la production vinicole et la circulation des vins. Le territoire c’est
un espace administré, essentiel pour comprendre le développement de ce qu’on désigne aujourd’hui la filière vitivinicole.
Sans doute faut-il faire intervenir de ce point une approche résolument multi scalaire en acceptant l’idée que les jeux d’échelle sont de longue date présents dans la production comme dans la commercialisation et la consommation des vins.
En ce sens les périmètres concernés impliquent aussi bien l’espace villageois et celui des exploitations, que celui des régions ou
des pays : la production comme la circulation des vins se déploient depuis les temps anciens du local à l’international dans des conditions qui bien évidemment se transforment : hier l’histoire des vins de Chypre, de Beaune, du Champagne, aujourd’hui celles d’Australie, de
Californie ou du Chili illustrent l’imbrication des facteurs productifs strictement ancrés et ceux qui participent des échanges aussi bien économiques que culturels.
En somme raisonner en terme de territoires oblige à penser tout à la fois les frontières et les échanges, à concevoir les spécificités et les traits communs, les modes d’activités en distinguant le matériel et l’idéel comme leur imbrication. En ce sens les rites comme les mots associés au vin participent de ces territoires de l’imaginaire et de la culture parties intégrantes de toute approche globale non seulement des usages et de la consommation du vin mais aussi de sa production et de son organisation.
La mondialisation du vin, tout au moins de sa consommation et en partie de sa production, n’efface pas la diversité des territoires, issue de l’histoire des sociétés mais aussi inséparable d’un environnement physique en interaction avec l’évolution des sociétés

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