Pas de panique ! Se rapprocher des terroirs de France peut être une solution à une sortie de crise

De jour en jour, nous voyons les économies du monde entier, péricliter, s’appauvrir, et s’approcher dangereusement de la banqueroute.

Globalement, tout le monde est touché par cette récession qui nous menace, même si certains plus aisés que d’’autres tireront leur épingle du jeu.
A certains moments de déprime passagère, il est bon de côtoyer les anciens, qui ont beaucoup à nous apprendre sur notre mode de vie.
Nous avons voulu consommer toujours plus, donc produire toujours plus, et jeter de plus en plus. Maintenant que la crise s’est installée de façon durable dans nos foyers, il est temps de perdre nos vieilles habitudes, qui étaient peut-être bonnes en leur temps, mais plus maintenant.
La France est un pays qui peut nous permettre de vivre en autosuffisance, le temps que l’’avenir s’’annonce meilleur.
Nous produisons ou nous pouvons produire tous les produits de première nécessité, notamment les produits alimentaires, sans être obligé d’’acheter les tomates d’’Espagne ou les poulets de Hongrie.

Campagne
Et si notre économie retrouvait sa simplicité du temps des 30 glorieuses ?
Pourquoi aller chercher ailleurs ce que nous pouvons produire chez nous ?  En période faste, pourquoi pas !
Mais en période difficile, il faut retrouver les valeurs qui ont fait notre force.
Quand les villes étaient moins peuplées, la vie était meilleure aussi bien en ville qu’’à la campagne. Dans certains départements de France, une maison de 100 m² se vend de 50 000 à 70 000€ € et ne trouve pas acquéreur, parce que la ville garde toujours son pouvoir d’’attraction, malgré sa circulation difficile, son insécurité, ses écoles surchargées, sa pollution, son bruit……
Au temps des auto-entrepreneurs, de l’’aide à la personne et du télétravail, il devient plus facile de s’’installer à la campagne, à proximité d’’une ville, et de retrouver une certaine sérénité de vie.
Se rapprocher des terroirs de France peut être une solution à une sortie de crise.
Vivre à la campagne ne signifie pas forcément devenir agriculteur.